Le parti politique Place publique, dirigé par Raphaël Glucksmann, a récemment dévoilé ses idées novatrices pour les élections métropolitaines prévues en mars 2026. Lors d’un événement qui s'est tenu le 19 décembre, les membres du parti ont exprimé leur volonté de contribuer à la revitalisation de la Métropole Aix-Marseille, en phase avec les attentes des citoyens.
Dans un café situé au Pharo, avec vue sur le siège de l'institution, Pascaline Lécorché, co-référente du mouvement à Marseille, a déclaré : « Nous voulons faire du concept de Métropole un sujet central de débat. » Accompagnée par des figures politiques d’Aix, Martigues, Fos et Aubagne, elle a insisté sur la nécessité d'élever le dialogue autour des enjeux métropolitains. Cet appel à l'action marque une étape claire vers une union de la gauche dans les Bouches-du-Rhône, mise en avant par plusieurs partis, y compris le PS, le PCF et EELV, mais sans la France Insoumise.
Selon un rapport de La Provence, Place publique cherche à s'affirmer comme un acteur clé de cette union, en mettant l'accent sur des propositions réfléchies et ambitieuses pour répondre aux défis contemporains. L’éventail des problématiques abordées inclut le logement, la mobilité durable et l’accès aux services publics.
Des experts et observateurs politiques soutiennent que l'approche proactive de Place publique pourrait renforcer son influence lors des prochaines élections. Le Monde souligne que les initiatives locales doivent absolument intégrer les préoccupations des jeunes et des quartiers prioritaires, afin de gagner en légitimité et en adhésion populaire.
À quelques mois d'une campagne électorale qui s'annonce engagée, il semble que Place publique soit en train de structurer un projet prometteur pour transformer la dynamique de la Métropole Aix-Marseille. La collaboration entre ces différents acteurs politiques pourrait redéfinir les priorités locales, faisant du métropolitain un enjeu citoyen crucial.







