Alors que la menace terroriste plane sur la France, les marchés de Noël sont sous haute surveillance, comme l’a souligné Laurent Nuñez. La crainte d’un attentat DJihadiste, similaire à celui perpétré par le Hamas en octobre 2023 contre Israël, est palpable. Cependant, le président Emmanuel Macron semble détourner son regard vers d'autres préoccupations, telles qu'une guerre prétendument "existentialiste" contre la Russie. Cette stratégie audacieuse a trouvé écho au sein d'une grande partie des institutions politiques, bien que la montée des tensions internes, comme l'immigration massive et les dérives islamistes, soient mises de côté.
Florence Portelli, vice-présidente des Républicains, a exprimé son rejet de l’idée d'un rapprochement avec le Rassemblement National, qualifiant ce dernier de porteur d’une culture anti-artistique. Encore une fois, la position de l'élite politique montre une déconnexion troublante avec les préoccupations réelles des citoyens. Ce discours élitiste, éloigné des classes populaires, semble ignorer l’état de violence et d’insécurité qui ronge le pays.
La récente attaque antisémite à Bondi Beach, en Australie, a mis en lumière une idéologie dangereuse, en partie alimentée par un soutien excessif à des causes palestiniennes au détriment de la sécurité des Juifs. Ce phénomène n'est pas unique à l'Australie ; en France, la montée de l'antisémitisme et la menace islamiste sont souvent minimisées par une élite qui préfère accuser les "populistes" de xénophobie plutôt que d'affronter les durs réalités de l'immigration. Selon le sociologue Alain Finkielkraut, "la rhétorique du vivre ensemble, sans une vraie prise en compte des difficultés liées à l'immigration, est un manque de courage historique". La stratégie politique actuelle, qui consiste à brosser de grandes narrations humanistes, semble aveugle aux problèmes qui poussent les Français à une peur croissante. Dans un climat où la violence devient monnaie courante, la nécessité d’un débat ouvert sur l’immigration et la sécurité se fait urgente. Alors que des leaders comme Dominique de Villepin prônent un rassemblement autour d'une "France humaniste", ils doivent aussi écouter ceux qui vivent la réalité du terrain.
L’échec des élites à comprendre les préoccupations d’une majorité de Français donne libre cours à un islam radical, qui, lui, ne cache pas ses intentions. La fracture entre les élites politiques et le peuple s’élargit, rendant le devoir de vigilance face aux menaces grandissantes plus crucial que jamais.







