La tempête semble s'être éloignée pour Cécilia et Patrick Salvany, un couple de commerçants de Royan, après avoir été plongé dans un véritable cauchemar. Victimes d'une usurpation de plaque d'immatriculation, ils ont reçu des contraventions pour des infractions qu'ils n'avaient pas commises. Les médias ont joué un rôle crucial dans la résolution de leur problème.
Depuis la médiatisation de leur affaire début novembre 2025, l'administratif a cessé de leur causer des ennuis. "Nous n'avons pas reçu de nouvelles d'un avis de saisie depuis," souligne Cécilia. Les Salvany, propriétaires d'une boutique d'artisanat, avaient été confrontés à une vague d'amendes pour des infractions, allant des excès de vitesse aux stationnements gênants.
Malgré la reconnaissance de leur statut de victime par la gendarmerie, la machine administrative s'était mise en marche inexorablement. "Nous avons fini par recevoir un avis de saisie qui menaçait notre entreprise. C'était la goutte d'eau," raconte Cécilia.
Heureusement, le retentissement médiatique de leur histoire a conduit à une prise en charge rapide de leur situation. "Les chaînes de télévision sont venues à nous, et cela a résonné avec beaucoup de personnes," informe le couple. En effet, ils ne sont pas les seuls à avoir été victimes d'une telle usurpation, comme l'indiquent d'autres cas rapportés dans des médias nationaux.
En fin novembre 2025, un agent administratif leur a promis de résoudre leur problème. Depuis, silence radio, et aucun prélèvement n'a eu lieu sur leur compte. "Le stress a enfin diminué après une année d'angoisse," conclut Cécilia. "Ce fut un long chemin, mais nous avons finalement trouvé la lumière au bout du tunnel."







