Les militants écologistes parisiens ont voté en faveur d'une liste commune avec le Parti socialiste (PS) dès le premier tour des prochaines élections municipales, excluant La France insoumise (LFI). Ce projet, soutenu par 73,7 % des suffrages exprimés lors d'un vote le 17 décembre, est mené par Emmanuel Grégoire, candidat du PS.
Dans un communiqué, David Belliard, leader des écologistes parisiens, a qualifié cette démarche d'historique, affirmant que cette collaboration vise à garantir une victoire de la gauche aux municipales de 2026. Les écologistes prévoient de lutter contre une droite qualifiée de “trumpiste” et “climatosceptique”, symbolisée par la candidate Rachida Dati.
Cette union fait écho aux résultats de plusieurs sondages, qui montrent une remontée des forces de gauches face à une droite divisé. Le rapprochement entre le PS et les écologistes pourrait donc renforcer leur position lors des élections futures.
Des experts politiques soulignent l'importance de cette alliance pour la dynamique électorale à Paris. Le Monde cite un analyste affirmant que « cette coalition est essentielle pour adresser les défis environnementaux et sociaux actuels, et pourrait séduire un électorat jeune en quête de changements significatifs ».
En résumé, cette union entre le PS et les écologistes à Paris pourrait redéfinir le paysage politique local et former une opposition solide contre la droite, tout en poursuivant des politiques progressistes sur des enjeux cruciaux tels que le climat et l'égalité sociale.







