Ce week-end, un minibus dédié aux associations sportives de Miramas a été la cible d'un acte de vandalisme, entraînant la dégradation de deux pneus et la destruction de feux arrière. Cet événement a été immédiatement signalé aux autorités, mais il soulève des inquiétudes sur la continuité des activités pour de nombreux jeunes et bénévoles.
Le véhicule, appartenant à l'Office municipal des sports (OMS), a été retrouvé dégradé le week-end du 6 et 7 décembre, perturbant ainsi les activités hebdomadaires de plusieurs clubs locaux. Sa mise hors service pose un véritable problème logistique pour les éducateurs et les jeunes sportifs qui en dépendent pour leurs déplacements.
Un acte inacceptable
Bastien Gotas, président de l'OMS, a vivement condamné cet acte, affirmant : "Nous avons déposé une plainte immédiatement après la découverte des faits. Ce minibus est vital pour les bénévoles et les jeunes, il est inadmissible qu'ils soient ainsi pénalisés". Les bénévoles et éducateurs témoignent également de l'impact considérable que cet acte a sur leurs missions. Certaines associations, comme le club local de football, craignent de devoir annuler des matchs et des entraînements.
Cet incident rappelle une tendance alarmante en France, où le vandalisme s'attaquent de plus en plus aux infrastructures associatives. Selon plusieurs études, ce type de dégradations pourrait avoir des conséquences durables sur l'engagement communautaire et la pratique sportive, en incitant les jeunes à se détourner d'activités bénéfiques pour leur développement.
Les autorités locales, en étroite collaboration avec l'OMS et les associations sportives, espèrent identifier rapidement les responsables de cet acte choquant. Des campagnes de sensibilisation au respect des biens publics sont également envisagées, pour empêcher de futurs incidents. La communauté de Miramas reste unie dans l'espoir de restaurer le minibus et de continuer à offrir des opportunités sportives aux jeunes.







